Forn siðr

Le Forn siðr sert à désigner les coutumes et les croyances religieuses scandinaves au cours de la période viking, habituellement entre 793, année du premier raid viking connu au monastère de Lindisfarne ;...



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Odin le Vagabond, œuvre du peintre suédois Georg von Rosen, 1886.

Le Forn siðr sert à désigner les coutumes et les croyances religieuses scandinaves au cours de la période viking, habituellement entre 793, année du premier raid viking connu au monastère de Lindisfarne; et 1066, année de la conquête de l'Angleterre par Guillaume de Normandie. L'expression veut dire littéralement «ancienne coutume, ancienne pratique» en vieux norrois, et même si le terme «religion» n'existait pas dans la langue à cette époque, les philologues comme Georges Dumézil utilisent le terme de religion pour la qualifier[1]. C'est au contact des moines chrétiens que les scandinaves païens ont vu un nom attribué à leur religion, leurs coutumes et leurs croyances. À partir du XIXe siècle, le mot Forn siðr a été remplacé par des termes tels qu'Ásatrú.

Ces croyances associées historiquement aux anciens germains et scandinaves ne sont pas complètement compatibles avec ce qui figure dans les textes de la mythologie nordique. Ainsi, Régis Boyer met en exergue une croyance ancestrale en une grande déesse mère de la création et de la vie, en harmonie avec les forces et les éléments naturels qui régissent l'univers, ainsi qu'à qui ils ont donné ensuite une représentation anthropomorphe[2]. Ces croyances sont sans prêtres, ni dogmes, ni lieux de cultes[3], [4]. Un statut spécifique était accordé par ces peuples à la nature, à la femme, ainsi qu'à certains animaux, comme l'ours, le cheval, le sanglier et le corbeau, qui se voyaient attribuer des pouvoirs fabuleux et possédaient une place importante dans les rituels et les traditions.

La lutte contre ces croyances et traditions «païennes» fut un point essentiel lors de la christianisation de ces peuples.

Les scandinaves ne donnaient pas de nom à leur culte avant l'arrivée du christianisme. Suite à l'arrivée des missionnaires chrétiens en Scandinavie tels qu'Anschaire de Brême vers 829 et le roi Harald Ier de Danemark qui réussit à imposer le christianisme dans son pays vers 960, les textes médiévaux de Scandinavie mentionnèrent le terme forn siðr pour désigner la religion originelle de ces peuples.

La forn siðr était la religion dominante en Europe non romaine avant la conversion des tribus germaniques et scandinaves au christianisme, soit durant le Second âge du fer jusqu'en 380, année pendant laquelle l'empereur romain d'Occident Théodose Ier plaça le christianisme au rang de seule religion officielle et obligatoire par l'édit de Thessalonique.

La question des croyances des anciens scandinaves et germains se retrouve dans la formulation de Gauka-Thorir :

«Nous autres camarades n'avons pas d'autre croyance qu'en nous-mêmes et en notre force et capacité de victoire, et cela nous suffit amplement»

— Gauka-Thorir, chapitre CCI Olafs saga hins Helga

Cette formulation se retrouve dans d'autres textes anciens, où ils affirment ne croire qu'en leur propre puissance et capacité de réussir «eiginn mattr ok megin», ne croire qu'en leurs propres forces et capacité de victoire «afl okkat»[5].

Déesse mère

Au départ «les pères des Vikings» croyaient en une Déesse Mère ainsi qu'aux grandes forces naturelles que sont le soleil, l'eau, la terre, l'air, le feu et la vie, qu'ils ont représentés plus tard par la création d'un panthéon qui compte surtout Odin (Yggr, le redoutable), Odr (fureur) Thor (tonnerre), Jord (terre), Frigg, Freyja (femme), Fjörgyn (il/elle, qui facilite la vie), Sol (la soleil), Máni (le lune), Baldr et Freyr, (seigneur), Surtr (noir du feu), Mimir (mémoire), Bragi (parangon), Logi/Loki (flamme), ... et le grand arbre Yggdrasill[6]. Les Landvættir sont les esprits tutélaires des lieux naturels tels que les collines, arbres, cascades, pierres... La tête de monstre sculptée sur la proue des bateaux vikings était faite à leur intention, afin d'épouvanter les Landvættir des pays à investir. Il convenait de l'enlever avant d'arriver en pays ami[7]. La Grande Déesse Mère forme un point capital dans les croyances des anciens scandinaves et germains.

Place de la femme

Les pays scandinaves sont à la pointe du féminisme, dans les temps anciens leur panthéon comportait un nombre élevé de déesses et de créatures surnaturelles féminines. Cela explique probablement le fait que la femme viking tenait un rôle particulièrement important[8]. Dans la période viking, La Grande Déesse Mère prend le nom de Frigg, Fri, Fiia, Frea, Freyja (bien aimée) elle est la douce chaleur du soleil, la déesse de la vie mais également de la mort qui accueille la moitié des guerriers, d'où l'une de ses hypostases : Hel (helja : accueillir, cacher), elle est aussi la déesse guerrière[9].

Rapport avec les autres et la nature

Les scandinaves et les germains du Nord, jusqu'à la période viking incluse, ne pratiquaient pas de sacrifices humains. Il s'agirait selon Régis Boyer d'une invention chrétienne pour les diaboliser. La «peine de mort» n'existait pas non plus et les Havamal le disent, «un mort n'est utile à personne»[10]. Pour les crimes les plus graves, on prononçait le bannissement pour trois ans (fjörbaugsgardr) [11]. Le mot blót est un sacrifice au sens «Vénération»[12]. Avant de consommer une boisson, un aliment végétal ou animal on verse symboliquement légèrement de liquide, d'aliment ou de sang de l'animal pour remercier les forces naturelles, la terre nourricière ou les dieux : pour la nourriture, les bienfaits, les interventions passées ou à venir, pour solliciter. C'est l'occasion pour faire un drekka minni en l'honneur des Landvættir, des Ancêtres, des forces naturelles ou des dieux. Ils ont avec les puissances naturelles et les dieux un rapport de «donnant donnant»[13].

Organisation des cultes

Les anciens scandinaves et germains ont une totale liberté de pensée et de croyance. Leur langue ne dispose pas de terme pour «religion», le mot approchant serait «seydr, sejdr ou sidr» : coutume, ensemble de pratiques, magie, médecine... activités essentiellement féminines. Leurs croyances ne possèdent aucun crédo, pas de prières à proprement parler, «pas de prêtres, ni ordre religieux, ni temples, point de délire imaginatif ou de longues méditations rêveuses»[14], sans foi, sans dogmes[15]. Le chef de famille ou du clan procède aux cérémonies, naissances, mariages, décès... et fait office de godi, sorte de «prêtre temporaire». Certains de ces godis se muèrent en prêtres officiels chrétiens, en particulier en Islande.

Destin

Les Vikings n'ont pas une conception du destin immuable. Quels que soient les projets de leurs dieux, les anciens scandinaves et germains demeurent libres et croient en leur capacité d'infléchir leurs dieux et de forcer le destin[16], pour le modifier, car ils croient à la chance (gæfa), à leurs talents, à leur force et volonté, à leur capacité de réussite, et aussi à l'appui de leurs ancêtres : ce qu'ils nomment «eiginn mattr ok megin»[17], [18], [19]. Pragmatiques, ils ne sont en aucun cas des fatalistes subissant un destin[20]. Ce sont avant tout des combattants et des hommes libres qui décident de leur sort au risque de déplaire aux dieux. Ils croient à la magie ou plutôt au sentiment de la présence constante du surnaturel[21] ainsi qu'à la divination pour percer les projets de leurs ennemis, des dieux et des forces tutélaires, pour changer le cours des évènements, et d'anticiper sur le destin[22], par conséquent de le modifier, car rien n'est écrit définitivement.

Ils sollicitent les forces, les dieux et leurs ancêtres qui leurs répondent dans leurs songes "mik dreymdi, at Freyja" (exemple : Freyja m'a rêvé que... ) [23].

Ces faits sont particulièrement éloignés et incompatibles avec la vision du destin des auteurs chrétiens qui, selon Régis Boyer, ont rédigé, découvert ou falsifié la quasi totalité des documents concernant la Voluspa et le Ragnarök. Il n'y a pas de destin que leur volonté ou l'aide de leurs dieux ou de leurs ancêtres ne puisse modifier, car les scandinaves étaient des hommes d'actions prisant les valeurs d'actions, et on leur fait tort en les accablant de pratiques et de concepts dont, sans aucun doute, ils eussent été fort empêchés[24].

Place des animaux

Certains animaux possédaient un statut spécifique dans les croyances des anciens scandinaves et germains.

Cheval

L'importance du cheval dans les textes fondateurs et les sagas mythologiques semble refléter la grande valeur qu'il possédait chez les anciens Scandinaves, comme l'attestent aussi les rituels liés à son sacrifice ainsi qu'à la consommation de sa viande, qui étaient censés apporter protection et fertilité alors que ses ossements sont utilisés comme instruments de magie noire dans les sagas. La lutte contre les traditions et les rituels comme la consommation de viande de cheval fut un élément capital dans la christianisation des régions qui pratiquaient historiquement la religion nordique, comme la Germanie et l'Islande.

Ours

L'ours possède une place particulièrement importante dans l'histoire des peuples germaniques et scandinaves à l'époque du paganisme nordique, admiré et vénéré pour sa force, son courage et son invincibilité, reconnu comme le roi des animaux, il était l'attribut des puissants et l'objet de rituels ayant pour but de s'approprier ses pouvoirs. Il était aussi l'attribut des berserkir.

Loup

Dans l'ancienne Germanie, comme chez les Gaulois, les guerriers se nourrissaient de loups pour acquérir ses qualités que sont la force, la rapidité et l'endurance. Ce rituel permettait de donner du courage aux combattants en les plaçant sous la protection des loups[25].

Les Winnilis, nom d'un peuple de Germains veut dire "les loups". Ils ne s'appelaient par conséquent pas hommes mais loups.

Sanglier

Corbeau

Témoignages

Plusieurs témoignages évoquent les croyances des peuples germaniques et scandinaves, avec plus ou moins d'apports et de modifications.

Antiquité

Jules César décrivait «les pères des Vikings» en ces termes :

«Ils (germains du nord) n'ont ni druides qui président au culte des dieux, ni aucun goût pour les sacrifices, ils ne rangent au nombre des dieux que ceux qu'ils voient et dont ils ressentent manifestement les bienfaits, le soleil, le feu, la lune. Ils n'ont même pas entendu parler des autres»

— César dans De Bello VI, 21

«Ils répugnaient à présenter leurs Dieux sous formes humaines, il leur semble peu convenable à la grandeur des habitants du ciel, ils leurs consacrent les bois, les bocages et donnent le nom de Dieux (et Landvættir) à cette réalité mystérieuse que leur seule piété leur fait voir» «Aucun de ces peuples ne se distingue des autres par rien de notable, sinon qu'ils ont un culte commun pour Nerthus c'est-à-dire la Terre Mère, croient qu'elle intervient dans les affaires des hommes et circule parmi les peuples» (La grande Aïeule essentielle, la Stammor, Jord, Fjorgyn. )»

— Tacite. Germania IX, 3


Époque chrétienne

Les textes constituant la mythologie nordique ont été rédigés par des clercs ou des hommes issus d'une formation cléricale[26]. La question de l'interpretatio christiana est fréquemment débattue pour savoir à quel point ils ont ré-découvert la mentalité des vikings deux ou trois siècles après leur disparition. Ainsi, selon Régis Boyer, «l'Église apportait dans ses bagages toute une magie biblique ou orientale fatidique qu'on attribua à tort aux Vikings»[27] et «tous les documents islandais anciens sont écrits sur palimpsestes, il faut gratter l'apport continental chrétien pour tenter de retrouver l'authenticité scandinave (et germanique) ancienne»[28]. Il propose d'essayer de reconstituer la mentalité viking plutôt que de prendre à la lettre des récits souvent trop complaisants ou adaptés de sources latines[29]. Pour Hilda Ellis Davidson, «nous avons affaire à un monde mythique artificiel, bien éloigné de la foi vivante de l'ère païenne»[30], [31].

Les historiens et les archéologues[32][33] nous mettent en garde à de nombreuses reprises, les sources de la mythologie nordique sont impures[34] et «il faut par conséquent garder constamment ses distances envers ce texte trop beau pour être vrai»[35]. Régis Boyer parle même d'intoxication : «il faut demeurer conscient que cette imprégnation pour ne pas dire intoxication littéraire (chrétienne et classique), afin d'apprécier à leur juste valeur les prestations scaldiques, eddiques, et sagas»[36].

Einar Olafur Sveinsson, spécialiste islandais actuel et son école, disent (en parlant de l'ensemble des textes) que : «la littérature ancienne de son pays est mi ecclésiastique, mi séculiere». Régis Boyer constate qu'«on ne voit pas comment le contredire»[37].

Les auteurs des textes sur la mythologie nordique subirent des apports extérieurs et une grande multiplicité d'influences comme les textes scythe, gréco-latins, celtiques, slaves, finno-ougriens, nord orientaux] («chamanistes») et chrétiens. De là viennent probablement les ressemblances des Nornes avec les Parques, des Valkyries avec Apsaras, de Tyr avec Mars, d'Odinn avec Mercure, de Loki avec Lug, ou encore de Fjorgyn avec Perkun[38]. Les Nornes et leur destin immuable sont vues comme une invention chrétienne associant Urd (le nom d'une source), Skuld (le nom d'une Valkyrie), et Verdandi (seule la Voluspa cite ce nom). Pour Jean Renaud, «Urd était certainement la plus authentique des trois, à laquelle on aurait associé ensuite les deux autres»[39]. Bon nombre des êtres surnaturels de la mythologie nordique sont adoptés sur le tard lors de la christianisation, et certains sont apportés par l'Église[40], tels que les Alfar (elfes) identiques aux chérubins ou aux anges, et les Dises.

L'Église avait pour but de ravaler les anciens dieux au rang de démons[16]. Snorri et Saxo Grammaticus s'efforcent de reconstituer un panthéon organisé autour de quelques grands dieux en se contredisant fréquemment et quelquefois gravement, et selon Régis Boyer, ils font de l'évhémérisme [41] en affirmant que les dieux ne sont que d'anciens magiciens divinisés dans la Trojumanna saga (saga des troyens) [42]. On les soupçonne de suivre quelques grands modèles célèbres dans tout le Moyen Âge, comme Isidore de Séville ou tout simplement la Bible[43].

L'Islande devenue chrétienne, l'Église ne badine pas plus là qu'ailleurs sur la stricte observance de ses lois[44]. Les Vikings avaient une écriture Runique, ils voyageaient et commerçaient énormément et connaissaient le papier, le parchemin et autres supports d'écritures. Néenmoins nous sommes confrontés à une quasi absence d'écrits (inexistants ou détruits) en dehors de gravures sur pierres. Les chercheurs supposent que ces croyances ne reposent que sur une longue tradition orale. Certains pensent à des autodafés chrétiens. Seules certaines pierres à inscriptions runiques auraient échappées à la destruction car elles comportaient des signes religieux chrétiens comme la pierre de Jelling, où des inscriptions neutres. La rédaction deux siècles après l'âge Viking, donne latitude à l'Église, d'entreprendre un travail patient et opiniâtre d'éradication, bien connu d'autre part[45]. Elle s'efforçait de dévaluer les croyances et pratiques menaçant la doctrine chrétienne, les dieux passent à l'état de diables, ou subtilement ils se retrouvent ridiculisés. (Harbardsljod ou la Lokasenna). Ou les dieux ne sont plus que de simples humains divinisés[46], ainsi ils périssent lors du combat final (Voluspa, ragnarök…) Régis Boyer [47][48].

Certains historiens ont estimé qu'il était envisageable que le Codex soit la partie restante d'une ancienne collection importante de manuscrits scandinaves runiques, effacée au cours de la destruction de monastères et de bibliothèques qui ont suivi la Réforme protestante. Le soutien à cette idée a été trouvé dans les rapports rédigés par Olaus Magnus, un ecclésiastique catholique actif au cours du XVIe siècle à Uppsala, en Suède, ayant fui le pays à cause de la Réforme. Selon Olaus Magnus, il y avait énormément de livres écrits avec des runes dans d'importants centres religieux suédois, comme Skara et d'Uppsala, avant la Réforme.

Christianisation

La détermination des missionnaires pour répandre leur foi en Scandinavie et en Germanie, ira quelquefois jusqu'à détruire des stèles au prix de leurs vies. Ne parvenant à éradiquer ce paganisme ni par la parole ni par les actes de vandalismes, l'Église eut recourt à une violence volontaire : «Répandre sa foi par le fer et le sang.»[49]. L'émoi et le traumatisme des massacres de Charlemagne se firent ressentir dans toute la Scandinavie. Les historiens et spécialistes (Alain Decaux, André Castelot, François Neveux Rudolf Simek…) pensent que ce fut l'une des raisons qui provoqua les raids vikings qui souhaitaient se venger de la christianisation forcée[50], [51], [52]. La conversion des Scandinaves et des Germains s'est effectuée plus ou moins violemment, sur plus de quatre siècles.

Reconstitution contemporaine

La foi scandinave, appelée Ásatrú ou Odinisme, a été reconstituée avec plus ou moins de succès, et certains pays acceptent désormais de la compter parmi les religions officielles. Il est cependant particulièrement complexe actuellement d'approcher un tant soit peu les croyances originales des peuples germaniques et scandinaves : «il faut demeurer conscient que cette imprégnation pour ne pas dire intoxication littéraire (chrétienne et classique), afin d'apprécier à leur juste valeur les prestations scaldiques, eddiques, et sagas»[53].

Voir aussi

Notes et références

  1. Les Dieux des Germains, essai sur la formation de la religion scandinave, 1959, publié aux PUF
  2. Régis Boyer Les Vikings : histoire, mythes, dictionnaire, éditions Robert Laffont, collection bouquins ISBN 978-2-221-10631-0 p. &nbs;421à 425
  3. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. &nbs;41; 46
  4. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 33, 44
  5. Régis Boyer, le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. &nbs;31, 32
  6. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 23;35
  7. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 25
  8. Régis Boyer Les Vikings : histoire, mythes, dictionnaire, éditions Robert Laffont, collection bouquins ISBN 978-2-221-10631-0 p. &nbs;421
  9. Régis Boyer La Grande Déesse du Nord, Paris, Berg, 1995 et Les Vikings : histoire, mythes, dictionnaire, éditions Robert Laffont, collection bouquins ISBN 978-2-221-10631-0 p. &nbs;424
  10. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 33
  11. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 69
  12. François Xavier Dillmann «Histoire des rois de Norvège par Snorri Sturluson» Ed. Gallimard, Page 371, ISBN 2-07-073211-8
  13. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 38
  14. Régis Boyer Le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. &nbs;41; 46
  15. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 33, 44
  16. Régis Boyer, le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. &nbs; 44
  17. Régis Boyer : Les Vikings 800-1050, la vie quotidienne Hachette page 218, ISBN : 2-0123-5690-7
  18. F. Ström : Den egna kraftens män, Göteborg, 1948
  19. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. &nbs; 32, 33
  20. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. &nbs; 37, 40, 44
  21. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. &nbs; 42
  22. Régis Boyer, le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. &nbs;93
  23. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. &nbs; 43
  24. Régis Boyer, Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, édition Payot, P8 ISBN 978-2-228-90165-9
  25. Le loup gris - Le loup dans la Mythologie http ://cybcharlotte. free. fr/mythologie/mythologie. htm
  26. Régis Boyer, Vikings idées reçues, le cavalier bleu, Éditions (ISBN 2-84670-040-0) 2002, page 70
  27. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. &nbs;44, 47
  28. Régis Boyer, L'Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 page90
  29. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9, p 18
  30. Mrs H. Ellis Davidson, Gods and Myths of Northern, Harmondsworth, Penguin Books, N° A670, 1964 page 24
  31. Régis Boyer, Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, éditions Payot, page 37, (ISBN 978-2-228-90165-9)
  32. Torfi H. Tulinius : chp :la conversion du Viking (traduction de R. Boyer, les nouvelles découvertes de l'archéologie, collection mémoires et histoire 2008, ISBN 2-7467-0736-5
  33. Einar Olafur Sveinsson, Hilda Roderick Ellis Davidson, Viktor Rydberg, Eugen Mogk, Jean Renaud. Jacob Grimm, A. d'Apremont, Keary Charles, Grau, Régis Boyer, ...
  34. Régis Boyer, L'Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7, p. 98
  35. Régis Boyer, Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, éditions Payot, page 37, ISBN 978-2-228-90165-9
  36. Régis Boyer, L'Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 p 206
  37. Régis Boyer, L'Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 page 203
  38. Régis Boyer, Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, édition Payot, P8 ISBN 978-2-228-90165-9
  39. Jean Renaud : les dieux des Vikings, éditions Ouest France, ISBN 2-7373-1468-2, page 122
  40. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 37
  41. Régis Boyer, Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, édition Payot, P 8 (ISBN 978-2-228-90165-9)
  42. Régis Boyer «l'Islande médiévale», Guide des belles lettres, (ISBN 2-251-41014-7) pages 179, 202, 211
  43. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 34
  44. Régis Boyer «l'Islande médiévale», Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7, p185
  45. Régis Boyer, Les Sagas islandaises, Payot, ISBN 978-2-228-90164-2 p122
  46. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 33-34
  47. Régis Boyer, L'Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 p186
  48. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p. 34
  49. Tout l'Univers Hachette volume 5 page 1110) et (Axis Hachette, volume 9 page 294 ISBN 2-03-505279-3)
  50. Rudolf Simek, «L'émergence de l'âge viking : circonstances et conditions», dans Régis Boyer, Les vikings, premiers Européens VIIIe-XIe siècle - Les nouvelles découvertes de l'archéologie, Autrement, 2005, p. 24-25
  51. Pierre Barthélemy, Les Vikings, Albin Michel, p. 156 édition 1988, ISBN 2-226-03257-6
  52. Alain Decaux et André Castelot - opt. cit, p.  715
  53. Régis Boyer, L'Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 p 206

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